Produit 714X 5 Historique

Historique

L’inventeur : Gaston Naessens

Le père du 714X, Gaston Naessens, était un chercheur-biologiste d’origine française, né en 1924 et décédé au Québec (Canada) en 2018 à l’âge de 93 ans.

En 1945, il obtint un diplôme d’ingénieur de l’Union scientifique nationale française, avec une spécialité en biologie, physique et chimie.

Son sujet de recherche de prédilection a toujours été l’étude du sang humain (l’hématologie), particulièrement l’observation microscopique du sang vivant.

L’outil : le somatoscope

À la fin des années 50, c’est grâce à la fabrication de son microscope optique à haute résolution, le somatoscope, que Naessens a pu voir dans le sang vivant une petite particule lumineuse jusqu’alors inconnue de la biologie conventionnelle.

La découverte :  la somatide

Des années se sont écoulées avant qu’il puisse confirmer la nature vivante de la particule qu’il avait finalement réussi à extraire du sang humain périphérique. À partir de ce moment charnière, il a décidé de la nommer somatide, dérivé des racines grecques soma signifiant corps et tidos signifiant donneur de vie. 

La théorie

Non seulement avait-il découvert une particule vivante, mais, en plus, elle présentait visuellement un modèle de croissance s’exprimant dans un cycle répétitif de 16 phases consécutives (pléomorphisme).

Cette compréhension inédite du cycle de croissance de cette particule vivante, bien visible dans le sang vivant, a été le prélude de la naissance d’une nouvelle théorie que Gaston Naessens a appelée l’orthobiologie somatidienne.

Cette théorie a été déposée en 1961 par le chercheur à l’Académie des sciences de Paris.

Les deux applications de l’orthobiologie somatidienne dans le domaine de la santé 

1- Le test de dépistage préventif (état du système immunitaire) à partir de l’analyse du sang vivant
2- Le produit restaurateur du cycle somatidien : le 714X

  • Le test de dépistage préventif du sang vivant

Cette découverte de la somatide et de son cycle évolutif en milieu de culture suscita beaucoup d’espoir chez le chercheur qui entrevoyait la possibilité d’un nouveau moyen permettant de dépister le dérèglement du terrain biologique avant même l’apparition de la maladie.

Au début des années 60, en collaboration avec des médecins français, le chercheur a pu mettre en corrélation la présence de formes somatidiennes avancées (phases 4 à 16) en lien avec la présence de pathologies diverses.

C’est à partir de cette compréhension que Gaston Naessens a pu établir la présence d’une barrière de protection naturelle entre les phases 3 et 4 du cycle somatidien dans le sang.

Ce travail de collaboration en recherche clinique venait corroborer les hypothèses de recherche de Gaston Naessens, qui découlaient de ses observations microscopiques constantes du sang vivant.

De cette nouvelle compréhension était né un nouvel outil d’observation du sang vivant qui avait le potentiel de devenir un test de dépistage préventif capable de mesurer l’état des défenses naturelles, incluant le système immunitaire.

Les phases 1 à 3 étaient le témoin visuel microscopique en corrélation avec un terrain biologique harmonieux (état de santé). Les phases 4 à 16 témoignaient d’une corrélation qui annonçait une désorganisation du terrain biologique qui pouvait ultimement conduire à divers troubles biologiques temporaires ou chroniques.

L’observation du sang vivant devenait une première application innovatrice de l’orthobiologie somatidienne dans le domaine de la santé (test de dépistage préventif).

L’analyse de sang vivant que je propose n’est pas et n’a jamais été un test diagnostique. Cet acte est exclusivement réservé aux professionnels
de la santé.
                      —  Gaston Naessens

  • Le produit restaurateur du cycle somatidien : le 714X

Devant l’observation microscopique d’un terrain biologique désorganisé, il fallait, dans l’esprit du chercheur, trouver une façon simple de rétablir l’équilibre avec un produit non toxique.

Dans l’intention du chercheur et selon sa compréhension, un nouveau produit devait être capable de prévenir la maladie en harmonisant le cycle somatidien. Il devait également répondre aux trois critères suivants :

1-  soutenir la Vie sans endommager les cellules et/ou les tissus du corps (ne pas nuire);
2-  être obligatoirement liquide afin d’atteindre la grande circulation lymphatique, donc injectable;
3-  être capable de liquéfier la lymphe en changeant sa biochimie afin de permettre à cette dernière de pouvoir circuler librement et aller rejoindre la grande circulation sanguine.

C’est dans cet esprit que le chercheur a voulu créer un produit capable de rétablir la barrière de protection visible dans le sang vivant, soit de maintenir l’équilibre biologique du microcycle de la somatide des phases 1 à 3 (marqueurs visuels de la santé).

Cette nouvelle compréhension a donc donné naissance à un produit innovateur capable de restaurer le cycle somatidien : le 714X.

Ce produit a été conçu dans les années 70 (la non-toxicité validée par un test préclinique en 1978). Le nom scientifique du 714X est le chlorure de triméthylbicyclonitraminoheptane.

Afin de faciliter l’usage courant, son nom de fantaisie a été inspiré des initiales du nom de l’inventeur, GN : le G étant la 7e lettre de l’alphabet et le N étant la 14e lettre. Quant au X, étant la 24e lettre, il correspond aux deux derniers chiffres de l’année de naissance de l’inventeur afin d’en assurer la paternité. 

Ce produit immunomodulateur devenait donc la deuxième application innovatrice de la découverte de la théorie somatidienne et de son cycle évolutif dans le sang.